Je recouvre mon visage à la bombe de peinture blanche,
Mes yeux souligné d'un fort trait de khôl,
Mes épaules dégoulinent de sang.
Je suis assis mon épée à la main me demandant ce que je peux bien en faire.
Las de cette indécision, je finis par me lever pour marcher au hasard.
J'avance, j'avance, quand soudain sans raison.
Je fais un saut périlleux latéral mon épée à la main,
Comme me l'a appris Grand-pas.
Cela ne sert à rien.
Je suis un peu ridicule.
Mais qui l'a vu ?
Commentaires :
castor
Remarque...