Pure utopie ?
J’aurai tant voulu t’appartenir et qu’en retour tu m’appartienne.
Je t'aurai tout donné de moi, pour l'honneur de tout recevoir de toi.
L’amour aurait fait disparaître toute notion de contrainte, nos échanges n’auraient été que bonheur.
Je t’ai cherché, je t’ai rêvé, je t’ai voulu.
Où es tu ?
Je suis trop naïf.
Ce que je demande, c’est trop,
Ce que je mérite, ce n’est pas assez.