D’abord le souffle court un soir,
Et le lendemain un vrille dans la tête,
Jusqu'à ce qu’il ne puisse plus être possible de tenir.
Mon sang c’est changé en feu
Et me fait bouillir le cerveau.
La pression dans me tête est forte
A me donner la sensation d’avoir la tête dans un étau.
Je ne peux plus travailler,
Ni écrire, ni manger, ni même lire.
Mes nuits sont entrecoupées de délires et de fièvre.
Abattu d’un coup, et au tapis pour quatre jours
Encore un peu plus invisible,
Disparu.