Adorables petites poupées de cire,
J'aime vos visages et vos corps délicats,
A vouloir tuer ceux qui vous font du mal,
Tous ces porcs qui voudraient frotter leur gras ventre sur vous,
Et vous souiller de leurs fluides sales.
Personne ne devrait avoir le droit de vous abîmer,
Pauvre de moi qui en rêve si souvent.
De vous et de faire ces choses là.
Commentaires :
Re:
Je me suis relu, et je me suis demandé si j'étais compréhensible.
Et le doute aidant, j'ai préféré modifier la fin de mon texte.
Je ne souhaite pas de cris, ni de sanglots sous les toits.
Encore faudrait il qu'il existe des belles qui aiment la bête
Qui accepte ce qu'elle est,
Et en redemande.
en vouloir à ceux qui se permettent ce qu'on n'oserait pas.
Eternel conflit entre idéal (Bien) et bestialité (Mal).
Aspirant au premier mais tentés par la seconde,
on voudrait éradiquer ceux qui y succombent,
parce que dans un monde idéal ils ne devraient pas exister,
mais aussi parce qu'ils en tirent (croit-on?)
un plaisir qui nous est interdit.
Vieux comme le monde, mais parfois terriblement obsédant.
Delirium-Tremens