Malheureux celui qui doit casser la maison d'un autre,
Pour batir la sienne.
D'une petite brindille qui dépassait,
J'ai tiré, tiré, à m'en faire tomber sur le crane des milliers d'autres accumulées.
Il y en avait tant et tant.
Oh petite chose, je t'ai pris ton amour.
Tu n'aurais pas du vouloir vivre près de moi.
Tu aurais du te méfier de moi,
Et savoir qu'un jour ou l'autre je serais venu envahir cet espace.
Que tu avais investis le pensant déserté.
Je suis désolé, je ne savais pas.
Plus tard, je te regarderai avec envie.
Et espérerai que tu reviendra vivre près de moi, mais pas trop près quand même.
Nous sommes trop fragile l'un et l'autre,
Pour ne pas vivre cote à cote sans nous faire inconsciement du tord.
Tu ne convoitra pas la femme d'un autre ...
... mais elle est tellement jolie.
Commentaires :
Re:
Il y a des gens formidables à découvrir, sachons nous donner la peine de les trouver.
passionnee-par-les-reves
Faut-il croire aux amours impossibles?