Je n'ai plus les mots,
Je n'ai plus le temps du (des) verbe(s).
Et puis de toute façon,
Tu ne me lis pas.
Je n'ai plus internet.
Lien pseudo-social.
Bah ?
J'ai laissé tant de sable me couler entre les doigts pendant ces vacances.
J'ai construit des chateaux de sables,
Mais même avec de grosses pierres dans les murs,
Ils seront toujours disparus demain.
Et je n'ai pris le temps de parler de Charlotte à personne.
Que violà déjà autre chose à penser (panser).
Maintenant c'est la vraie vie,
Un peu chaque jour, concret tout le temps.
Je me sens chahuté, toujours.
Cela ne sera jamais autrement je crois.
Ce n'est pas la tempête.
Mais je navigue à vue dans le vide.