Je vais mieux.
Pourquoi tu m'aimes ?
Angoisse de quelques minutes, car je sais que ne pas répondre à cette question blesse.
Qu'il est parfois difficile de s'avoir exprimer ce que l'on ressent.
Et soudain, tout le monde me manque ...
Je suis long à la détente, à trouver les mots, cette fois je crois que je m'en suis tiré.
Ouf,
Je vais mieux.
J'ai mis de côté mes états d'âmes, mes bleus aux coeurs.
Il me reste les doutes toujours, mais bon, je les ai enfouis au fond du sac.
Je vais mieux.
Je vais me faire changer quelques dents abîmées tant que j'ai de l'argent.
On verra plus tard ou jamais pour se faire re-marquer la peau.
Je vais mieux, je lis, je lis.
Je m'émeu encore, je suis un garçon sensible, tu me plais.
Je t'aime.
Il est des blessures qui ne s'ouvrent qu'à la nuit, à l'heure où les rires se taisent, où l'âme a froid et fait trembler le corps.
R Bohringer
Commentaires :
mervil
Brahms, Bach, et moi
Quant à moi étant à la base, sceptique, je ne demande qu'à changer d'avis, mais l'occasion ne c'est pas encore presentée et je crains meme qu'elle ne soit définitivement passée.
Pour rester sur une note optimiste, en ce qui me concerne, et malgré un passage sinistre de Brahms, je suis moi meme extremement sentimentale et niaise et mon côté enfantin me pousse à croire aux contes de fées mais schakeaspiriens, crépusculaires, énigmatiques, un peu fatigants d'un côté.
Je ne veux pas vous accabler de commentaires, qui certainement ne vous interesserons pas spécialement, aussi je vous souhaite ce que vous méritez.