sans raison apparente
J'ai beau montrer mon visage d'IH* presque tout le temps.
Pour que ça glisse sur moi, pour y croire ne pas laisser le doute gagner.
Il ne faut pas croire que je ne suis pas comme toi, comme elle, comme lui.
Et je connais des dizaines d'autres exemples.
J'ai moi aussi mes putains de moments où je voudrais finir au fond d'un trou à me cacher, avec ce mélange de honte et de détresse, qui fait que tu ne sais pas vraiment si tu voudrais qu'on vienne te sortir de là ou pas.
Et remettre la machine à cogiter des cauchemars en marche.
J'suis normal je crois.
*IH : Imbécile Heureux
Pour que ça glisse sur moi, pour y croire ne pas laisser le doute gagner.
Il ne faut pas croire que je ne suis pas comme toi, comme elle, comme lui.
Et je connais des dizaines d'autres exemples.
J'ai moi aussi mes putains de moments où je voudrais finir au fond d'un trou à me cacher, avec ce mélange de honte et de détresse, qui fait que tu ne sais pas vraiment si tu voudrais qu'on vienne te sortir de là ou pas.
Et remettre la machine à cogiter des cauchemars en marche.
J'suis normal je crois.
*IH : Imbécile Heureux
Ecrit par exvag, le Dimanche 5 Juin 2011, 12:05 dans la rubrique "Journal d'un fou".
Commentaires :
Re:
Cher Mervil,
Le courage, se faire confiance ce n'est pas trop dans mes habitudes, me poser des questions si. Mais à me lire, vous avez bien du le remarquer.
Je crois que le salue se trouve parfois en une main tendue ou saisie. Après tout, même avec des pierres brisées, l'on arrive à force de patience à bâtir des murs.
Enfin, je voudrais dire que malgré l'adversité l'espoir est toujours récompensé quand quelqu'un vous souris.
Et moi je souris en pensant que quand l'Entreprise était encore marquée d'une flèche, j'ai profité de la restauration collective que l'on accédait par un trou dans la dalle au pied de votre tour. Le monde est tout petit
Le courage, se faire confiance ce n'est pas trop dans mes habitudes, me poser des questions si. Mais à me lire, vous avez bien du le remarquer.
Je crois que le salue se trouve parfois en une main tendue ou saisie. Après tout, même avec des pierres brisées, l'on arrive à force de patience à bâtir des murs.
Enfin, je voudrais dire que malgré l'adversité l'espoir est toujours récompensé quand quelqu'un vous souris.
Et moi je souris en pensant que quand l'Entreprise était encore marquée d'une flèche, j'ai profité de la restauration collective que l'on accédait par un trou dans la dalle au pied de votre tour. Le monde est tout petit
parfois, dans certaines circonstances extremes, il vaut mieux mieux ne plus questioner, mais se faire confiance, surtout et en particulier, car c'est plus glorieux mais souvent suicidaire, quant on est seul contre les autres à défendre une idée, pas comprise ou difficilement transmissible peut etre, glorieux, seul, certes, mais c'est pas vraiment le but, et moi qui travaille à la poste, et qui malgré l'adversité, tache desesperement, malgré le poids des ans, en plus, de mobiliser la base postale contre les méchants, tous les méchants, un genre de sauvetage sans espoir, qui malgré tout et grâce à certains génies mal compris, et que je synthetise, en ce moment, assez bien, malgré mon maigre bagage scolaire, un peu Jeanne d'Arc par certains côtés, mais pas pucelle et plus vieille et pas encore morte, c'est poutant pas faute d'avoir essayer, individualiste comme Paul Leautaud plutot que collectiviste, je pense dorenavant qu'il faut du collectif donc une réponse, mais tout dépend du collectif.
On peut prendre çà de diverses façons, et c'est une idée, presque une theorie mathematique, une question de nombre, de dialectique ou "dialectica eristica" melange de dialectique issu de la logique aristotelicienne et de sophistique améliorée par mon mentor Schopenhauer, et de courage?