C'est byzarre, Exvag, vous parlez de choses qui disparaissent et je lisais ce matin Schopenhauer qui parlait de Kant qui parlait de la chose en soi, qui n'est que representation subjective, un conglomérat de sensations simultanées, éphémres, liées à l'objet, qui lui meme peut n'etre qu'objet ou representation transcendentalement sensitive, on peut meme supposer que "la chose en soi" n'existe que dans notre imagination.
et je vous rassure, qu'importe la posterité qui n'est elle meme qu'une representation.

Tu survoles, tu survoles.....
De toutes façons,tu ne peux embrasser toutes les choses qui de surcroît comme le laisse entendre Mervil, n'existent que dans notre imagination .
La postérité, cher Exvag , on s'en fout !
Mais oui! On s'en fout, mieux vaut être un chien vivant, qu'un grand homme mort !
Je suis une grande fan du Père Lachaise (j'habite à côté), je te jure Balzac, Chopin.....sont morts et quand je lis et quand j'écoute, ils sont toujours morts.
On a la vie et ça, on peut faire encore des p'tits trucs !

A me relire, outre les fautes, c'est vrai que mon texte est bien pédant.

Je ne cherche pas la postérité d'un Chopin ou d'un Balzac.
Je voudrais au moins être acteur de mon quotidien et cesser de le laisser me couler entre les doigts.

Alors hop, je change mon titre.

Ah! Oui, c'est moins présomptueux :-)))!
Ecoute , il me semble que dans la vie , je suis très organisée, sûre de moi et de mes choix et bla bla bla.
Et pourtant, je ne suis pas actrice de mon quotidien et tout coule entre mes doigts....
La vie, c'est des petits trucs, rien d'autre....

Exvag, il faut recadrer !

Au-dessus !

pas au dessus, quoi que, çà dépend où on voit le dessus, moi je dirais, toujours freudiennement ou schopenhauerement, en dessous, au tréfonds, là ou nous meme n'avons pas accès, l'abyme individualiste insoupsouné, innateignable ou atteignable à la fin finale, je finis même par une citation d'Emmanuel Kant, puisqu'on a presque commençé par là, sur la finalité, que j'ai apprise par coeur pour me la réciter dans des moments de stress, surtout parce que je n'y comprenais rien, çà chassait le reste, les idées obsédantes celles qui empechent de trouver peut etre aussi, pas la chose en soi, mais le calme, la presque sérénité, le zero questionnement, la non pensée.
Citation tirée de "la critique de la faculté de juger": on nomme fin l'objet d'un concept, dans la mesure où ce concept est considéré comme la cause de cet objet (comme le fondement réel de sa possibilité); et la causalité du concept est la finalité(forma finalis).
Quand au dessus, c'est la tête, le cerveau, le haut mal.

Je voulais simplement dire : au dessus, c'est Sarah-k, pas un(e) anonyme :-))))))!