Ce goût d'oxyde, de pourri, de reviens-z'y.
La vie est un éternel recommencement.
Chateau de cartes, écroulé aux premiers souffles, soupirs.
Tantale, Sysif ...
Et je suis là, seul dans la nuit.
A pleurer, sur les mêmes chansons.
Le ventre tordus pas les mêmes faims.
Toujours les mêmes maux, les mêmes erreurs,
Se répettent.
Toute la patience, de tant de coût.
Perdue encore une fois.
Insomnie et merde, quoi faire sinon de le ré-écrire et le ré-écrire.
Ils s'en remettrons mieux que moi.