Triste constat
Ce monde où les terribles fous et les plus idiots sont montés aux nus par les pleureuses et les faiseurs d’histoires.
Quelques instants de gloires mercantiles et d’émotions faussées sont déversés en une diarrhée que le troupeau accepte et dont il se repait, l’empêchant du même coup de trouver les bons chemins.
Le sage se tait, honteux, s’il n’est pas en plus corrompu par le système.
Seul celui qui parle fort et sans cohérence est écouté, un peu, par ceux qui acquiesce mais reste le cul posé dans leur merde.
De l’humanité coupable, il faudrait qu’il en disparaisse la moitié.
L’homme individu peut être innocent et mérite d’être pleuré.
Je voudrais n’être pas celui que l’on accusera d’avoir fait ce choix là.
Je ne vois pas d’après demain.
Quelques instants de gloires mercantiles et d’émotions faussées sont déversés en une diarrhée que le troupeau accepte et dont il se repait, l’empêchant du même coup de trouver les bons chemins.
Le sage se tait, honteux, s’il n’est pas en plus corrompu par le système.
Seul celui qui parle fort et sans cohérence est écouté, un peu, par ceux qui acquiesce mais reste le cul posé dans leur merde.
De l’humanité coupable, il faudrait qu’il en disparaisse la moitié.
L’homme individu peut être innocent et mérite d’être pleuré.
Je voudrais n’être pas celui que l’on accusera d’avoir fait ce choix là.
Je ne vois pas d’après demain.
Ecrit par exvag, le Lundi 25 Juillet 2011, 12:31 dans la rubrique "Journal d'un fou".
Commentaires :
Re: philosophiquement et dialectiquement, sont mes deux jambes, aujourd'hui
Puree, si je savais comment disparaitre de ce monde de merde, definitivement, et d un coup de baguette magique, ce serait fait, depuis longtemps.
Re: philosophiquement et dialectiquement, sont mes deux jambes, aujourd'hui
Ce ne serait certainement pas une bonne solution.
Venez me voir et confrontons nos désespoirs ... à moins que je ne vous sois indifférent.
Ce qui me donne envie d'effacer ça et là
Venez me voir et confrontons nos désespoirs ... à moins que je ne vous sois indifférent.
Ce qui me donne envie d'effacer ça et là
mervil
philosophiquement et dialectiquement, sont mes deux jambes, aujourd'hui